Lorsque
le texte aux signes magnétiquement symbiotiques pourra se feuilleter, il
effeuillera les âmes déliées. Les correspondances aux saveurs mâchées pâliront
à côté des volcaniques immatérialités tapotées. Le cordon textuel maintient en
braises les ivresses saisies et nourrit les sensitives submersions. Tel un
écran aux trois-cent soixante degrés couplés aux accents multidimensionnels, l’horizon
se laisse effleurer : lui, en général si distant, le voilà qui s’érige
pour une fresque intérieure esquissée à l’unisson.
La
mélodie de gestes sur toile de fond essaime ses inédites fragrances. Indexer
les élans mirifiques régénère la foi en la substance essentielle : jamais
un souffle de trop, quitte à s’enhardir ; aucune rétention de sens pour
toujours fluidifier les paroxysmes débridés. Aux lèvres de l’aube subsistent
les germes d’un ancrage éclairé : aspirer la vie par l’écho dingue d’un
bien à se faire sans seringue.
Attisons
les connexions pour un réseau effréné qui dilate ad vitam le pantagruélique enclin. Enfin, qu’exulte le songe exalté.