09 novembre 2016

Quand Trump (élu) pète des insanités...

Avec ma publication le 6 novembre j'avais encore l'espoir que le peuple américain ne tenterait pas le diable. Désormais, le monde peut basculer et ma misanthropie se justifier. Finalement, peu de choses à changer dans les paroles que j'avais conçues.


Voilà ce que j'écrivais dans mon "Journal en retrait" le 25 septembre dernier: "Demain, premier débat Clinton-Trump. Si la personnalité d'Hillary n'a rien de bien charismatique, ce qui s'exhale du sinistre Donald et de ses expectorations préfigurent le pire pour l'humanité si le peuple américain se laisse aller à le porter à la tête de l'encore première puissance mondiale.
Qu'il n'en ait rien à foutre du reste du monde, une évidence de comptoir, source première de sa simpliste rhétorique. Un candidat à l'image de la part la plus médiocre et arrogante du pôple. La mondialisation nous rend interdépendants et ce choix sonnerait comme l'amorce d'une perdition du monde encore vivable que l'on connaissait.
La démocratie a permis l'accession au pouvoir d'un Hitler, très vite engagé sur la voie autocratique, elle pourrait laisser les rênes dirigeantes des Etats-Unis à un commerçant nationaliste persuadé de son bon droit... une sorte de populisme wall streeté avec toute la démesure américaine en plus."


Il grouinait dans ses tours, loin de la politique,
Fripouill’ comme il se doit, lourd d’affaires éclectiques,
Magouillant sans arrêt pour engraisser son beurre,
Et toujours s’imposer en magnat paradeur.
Obsédé par son blé, il a su bien se vendre
Et des impôts si peu payés grâce aux méandres,
Des paradis fiscaux, des obscur’s sociétés,
Tout en faisant le show d’une émission télé.

Trump pète
Des insanités
Pour être
L'élu à conchier.

Et le voilà choisi aux bien nommées primaires,
Par un parti groggy, Républicains amers
D’avoir un malfaisant pour toute incarnation
En vue de remporter l’ultim’ compétition.
Ainsi catapulté, l’échevelé galope
Croyant faire oublier son passé interlope.
Rien qu’un opportuniste aux envolées grossières,
Rien qu’une impunité à réduire en poussière.

Trump pète
Des insanités
Pour être
L’élu à conchier.

Pour chaque intervention, la charge est explosive,
Et ces déflagrations, le bougre, il les cultive,
Car plus il vitupère, salaud provocateur,
Plus il sert les instincts bas de ses électeurs.
Du Mexicain violeur au musulman bestial,
Tous ces gens fustigés par son discours fécal
Pourraient bien l’empaler par où il se répand :
Mettre près du rectum sa langue de charlatan.

Trump pète
Des insanités
Pour être
L’élu à conchier.

La gente féminine, elle aussi, il la blesse,
Bouc blondinet en rut, vantard sur ses prouesses,
Vieilless’ libidineus’ s’égarant dans ses choix,
Empoignant toutes les « pussies » qui lui échoient.
Les prétextes virils d’un gras machiste infâme
Vengent les frustrations des échoués qui clament
Leur sexe supérieur comm’ si cette portion
De chair déterminait le rang de cett’ faction.

Trump pète
Des insanités
Pour être

L’élu à conchier.

Le Donald déchaîné contre Hillary s’invente
Une virginité de biche évanescente :
Lui, l’intègre modèle, Clinton la criminelle,
Il voudrait que l’on gob’ de si grosses ficelles.
Bien moins drôle que Duck, il canard’ sans finesse,
Et parmi tous ses « fuck ! », le comble de bassesse
Revient à son délir’ d’un Obama démiurge
De Daesh. Triste pitr’ ce Trump qu’il faut qu’on purge.

Trump pète
Des insanités
Pour être
L’élu à conchier.

Les mamours à Poutin’ révèlent un penchant louche
Du pseudo démocrat’ qui s’annonce farouche
Rebelle au résultat s’il était en retard :
Un’ menace éhontée d’un gros lard en pétard.
Déchaîner tant le peuple, insulter l’adversaire,
Cherche-t-il le chaos, une élite à fair’ taire ?
Veut-il, en bon escroc, faire sa pub en sus ?
L’Amérique dériv’ vers cet olibrius.

Trump pète
Des insanités
Pour être
L’élu à conchier.

Vessera-t-il plus fort, le Trump un peu girouette,
Lorsqu'il sera entré dans la Blanch’ Maison chouette,
Si le feu nucléaire proche de son index
Stimulait cette morgue, déjantait son cortex ?
Tragique jeu de rôl’ d’un mond’ qui dégringole
Où le bal des égos rend la campagn’ mongole ;
Prendre son droit de vot’ pour cracher sa berlue,
C’est fair’ du blond qui rote un despot’ résolu.

Trump pète
Des insanités
Pour être
L’élu à conchier.

Après c’tour de l’imbu qui songe à sa conquête
Par ce trop-plein d’abus au niveau d’la braguette :
Plaindre l’Américain qui, face aux malfaçons
Démocratiques, en vain a choisi sans passion
Hillary rejetée, Trump élu : quelle foire !
Et les mêmes tourments, de persistant’s escarres.
Restent les flatulences, désormais dans l’histoire,
D’un gougnafier en transe qui va nous en faire voir.

Trump pète
Des insanités
Pour être
L’élu à conchier.



06 novembre 2016

Le Trump pète des insanités

Depuis plusieurs mois trottait l'idée de réécrire "Les trompettes de la renommée" de Brassens contre le dangereux pignouf prétendant à la direction de la première puissance mondiale. Mission accomplie.



Il grouinait dans ses tours, loin de la politique,
Fripouill’ comme il se doit, lourd d’affaires éclectiques,
Magouillant sans arrêt pour engraisser son beurre,
Et toujours s’imposer en magnat paradeur.
Obsédé par son blé, il a su bien se vendre
Et des impôts si peu payés grâce aux méandres,
Des paradis fiscaux, des obscur’s sociétés,
Tout en faisant le show d’une émission télé.

Trump pète
Des insanités
Pour être
Le mâle à conchier.


Et le voilà choisi aux bien nommées primaires,
Par un parti groggy, Républicains amers
D’avoir un malfaisant pour toute incarnation
En vue de remporter l’ultim’ compétition.
Ainsi catapulté, l’échevelé galope
Croyant faire oublier son passé interlope :
Rien qu’un opportuniste aux envolées grossières,
Rien qu’une impunité à réduire en poussière.

Trump pète
Des insanités
Pour être
Le mâle à conchier.


Pour chaque intervention, la charge est explosive,
Et ces déflagrations, le bougre, il les cultive,
Car plus il vitupère, salaud provocateur,
Plus il sert les instincts bas de ses électeurs.
Du Mexicain violeur au musulman bestial,
Tous ces gens fustigés par son discours fécal
Pourraient bien l’empaler par où il se répand :
Mettre près du rectum sa langu' de charlatan.

Trump pète
Des insanités
Pour être
Le mâle à conchier.


La gente féminine, elle aussi, il la blesse,
Bouc blondinet en rut, vantard sur ses prouesses,
Vieilless’ libidineus’ s’égarant dans ses choix,
Empoignant toutes les « pussies » qui lui échoient.
Les prétextes virils d’un gras machiste infâme
Vengent les frustrations des échoués qui clament
Leur sexe supérieur comm’ si cette portion
De chair déterminait le rang de cett’ faction.

Trump pète
Des insanités
Pour être
Le mâle à conchier.


Le Donald déchaîné contre Hillary s’invente
Une virginité de biche évanescente :
Lui, l’intègre modèle, Clinton la criminelle,
Il voudrait que l’on gob’ de si grosses ficelles.
Bien moins drôle que Duck, il canard’ sans finesse,
Et parmi tous ses « fuck ! », le comble de bassesse
Revient à son délir’ d’un Obama démiurge
De Daesh. Triste pitr’ ce Trump qu’il faut qu’on purge.

Trump pète
Des insanités
Pour être
Le mâle à conchier.


Les mamours à Poutin’ révèlent un penchant louche
Du pseudo démocrat’ qui s’annonce farouche
Rebelle au résultat le plaçant en retard :
Un’ menace éhontée d’un candidat qui foire.
Déchaîner tant le peuple, insulter l’adversaire :
Cherche-t-il le chaos, une élite à fair’ taire,
Veut-il, en bon escroc, faire sa pub en sus ?
L’Amérique dériv’ vers cet olibrius.

Trump pète
Des insanités
Pour être
Le mâle à conchier.


Vesserait-il plus fort, le Trump un peu girouette,
S’il se sentait au seuil de la Blanch’ Maison chouette,
Si le feu nucléair' proche de son index
Stimulait cette morgue, déjantait son cortex ?
Tragique jeu de rôl’ d’un mond’ qui dégringole
Où le bal des égos rend la campagn’ mongole ;
Prendre son droit de vot’ pour cracher sa berlue,
C’est fair’ du blond qui rote un despot’ résolu.

Trump pète
Des insanités
Pour être
Le mâle à conchier.


Après c’tour de l’imbu qui songe à sa conquête
Par ce trop-plein d’abus au niveau d'la braguette,
Plaindre l’Américain qui, face aux malfaçons
Démocratiques, en vain choisira sans passion
Hillary pour quatre ans, Trump torché un peu tard,
Et les mêmes tourments, de persistant’s escarres.
Restent les flatulences, en suspens dans l’histoire,
D’un gougnafier en trans' qui a voulu s’y croire.

Trump pète
Des insanités
Pour être
Le mâle à conchier.