24 décembre 2020

Réveillons-nous !

Les ondes en boule se laissent enguirlander tant que le sapin sent. Une saleté de récidive nodulaire empoisonne le corps, dévaste l’esprit, éprouve l’âme…


Aux aguets du moindre signe inquiétant, à ne pouvoir expectorer le mal diffus, entre l’incertitude des mois à venir et les combats qui imposeront leurs dégâts collatéraux : sinistre cadeau à ouvrir au bistouri.

Ô Papa Noël, garde tes présents, je ne me déchausserai pas : offre-nous juste quelque avenir où la peine serve l’issue des tempétueuses épreuves.

Oh ! père-Noël ! n’essaye pas nos cheminées bouchées, elles ne font que supporter nos babioles à souvenirs. L’âtre au glacial rictus ne crépite plus depuis des lustres et la sagesse reste sur les dents : aux larmes si Terrien…


23 décembre 2020

Deux crocs osent l'absolu

 Les pendus se balancent au bout des rets asociaux : le chanvre numérique couine au sinistre rythme des puanteurs anonymes.

Deux crocs osent l’absolu, l’idéal à portée et contre tous les modèles au mauvais vent. Ne rien céder à la révulsante socialisation, à la profilisation en quelques illusoires clics.

En ligne de vie, l’horizon oxygéné, l’espace au temps réalisé à coups de tourments assumés ; le temps de l’espace pour l’irréductible fusion. Au large de l’ère mesquine, des aires masquées, de la vierus qui se ronge pour perpétuer ses entassements sous vide…

…un Texte aux Signes Magnétiques, Sisyphéens : 985 786 mots essaimés sur 3 587 pages.


Quelques zests tapotés par Musiney :

 

I – Exaltation

Mucey

J’ai ton parfum au creux de mes paumes : mmmmm ma madelusine de fou… de toi !

 

Musine

Maintenant tu es en moi tout le temps.

 

II – Déception

Mucey

Me reste l’immatérialité de ta présence. Je dois me concentrer sur cela.

Je le redoutais depuis le début de ce projet… Et cela arrive comme un coup de massue.

 

Musine

Je t’aurais bien emmené avec moi si tu étais là. Il n’y a personne aujourd’hui. Je t’aurais fait plein de gros bisous entre deux enregistrements. Toujours cette idée : t’enfermer quelque part. Je me pose des questions sur ma santé mentale.

 

III – Fusion

Musine

Je trouve que je suis taillée sur mesure pour toi pour tout.

 

Mucey

et réciproquement : de la très haute couture existentielle.

Le Général dressé… entouré de ta Marquise… fais-le boire mon amour…

Un feu liquide à siroter de toutes mes papilles.

Nos velours épidermiques s’unissent comme une seule peau…

 

IV – Divulgation

Mucey

Je veux que ces messages soient comme des petits cailloux ouatés qui te conduisent à moi… ma belle Poucette.

Tu sais ce que m’évoque ce qu’a fait la Crotalâtre ? C’est comme si elle était entrée par effraction dans nos intimités et qu’elle avait répandu ses excréments dessus.

 

Musine

Je suis là et je serai toujours là.

 

V – Sanctuarisation

Mucey, 7h41

Dix mois… sans toi.

8h06

Dis-moi… juste pourquoi.

8h42

L’émoi m’échoit loin de toi.

9h03

Sans mot dit je me sens maudit…

9h30

Cent maux à mon cœur transi.

 

Musine

Surtout ne t’éloigne pas.

Et si tu veux le faire, alors en douceur pour que je puisse m’habituer à ton absence.

 

Mucey

Petit délire sémantique : de l’ambiguïté du “de”.

Dans le supplice de Tantale il introduit le mortel qui a trahi les dieux et est condamné à voir s’assécher le fleuve dans lequel il veut boire et s’éloigner l’arbre porteur des fruits qu’il souhaite croquer.

Dans le supplice de Crotalâtre “de” introduit l’auteur du tourment qui a trahi ma déesse, laquelle doit s’éloigner de moi à chaque fois que notre symbiose est proche de son paroxysme.

 

Musine

On va créer notre propre monde.

 

Mucey

Je voudrais être ton Adam mon Ève primordiale…

 

VI – Affliction

Mucey

Je me sens désemparé… Je voudrais t’aider et te soutenir davantage dans cette épreuve… mais comment faire ?

 

Musine

Juste de te savoir là m’aide énormément.

 

Mucey

Trouver le bon équilibre pour rester un soutien et ne pas devenir un poids… Je dois sans doute travailler sur cela…

 

Musine

Une année merveilleuse auprès de toi.

 

Mucey

Dur de ne pas t’avoir retrouvée. Je ne peux m’en prendre qu’à moi de m’être acharné à rester… à déambuler dans les rues en t’espérant… comme le vilain petit canard que je suis… Et ton appel est mort-né…

 

Musine

Tu es mon merveilleux cygne.

 

Mucey

Parfois je suis plutôt l’Albatros de Baudelaire… avant son dernier soupir, mais toujours illuminé par ta présence.

 

VII – Fluctuations

Mucey

L’année va être lourde… Je ne pensais pas que cela allait basculer de cette manière. Au moins une maladie on peut la combattre… Là c’est comme une condamnation. Je dois effectuer ma peine : je dois la mériter.

 

Musine

Non, tu m’es essentiel.

 

Mucey

Pire qu’un deuil… c’est comme un arrachement renouvelé. Supplice de Tantale et peine de Sisyphe réunis.

J’irai sur un de nos bancs… en imaginant ta présence.

Et après je me ferai interner au Vinatier.

 

Musine

Ça c’est l’histoire pour me faire dormir ?

 

Mucey

Heu… touché-coulé, je suis…

Je l’aurais conçu plus douce et enveloppante, l’histoire… et nous aurions été tous les deux dedans, réellement.

 

Musine

Alors raconte-moi.

 

Mucey

Deux êtres aériens qui, par une brise enchanteuse, trouvèrent les courants les portant l’un vers l’autre… comme une évidence cosmologique.

Depuis lors ils ne pouvaient plus rien faire l’un sans l’autre au risque que l’un manque d’oxygène et de courant porteur…

Ils s’aimaient comme jamais ce sentiment n’avait été incarné… et chaque battement de leurs ailes angéliques engendrait de merveilleux arc-en-ciel.

Alors ils se prirent dans les ailes l’un de l’autre et atteignirent ainsi les plus insoupçonnés sommets d’humanité.

Depuis ce jour est né un fabuleux univers : l’il d’elle… que jamais plus ils ne quittèrent.

 

VIII – Perdition

Mucey

Je ne sais plus ce que je dois faire : d’habitude, même au pire des épreuves, j’avais un signe : là rien, le néant. Je ne suis même plus certain que ces messages te parviennent, que tu les lises…

Comme une tragique évaporation…

Comme si tout cela n’avait été qu’un rêve…

Humainement, je ne m’en relèverai pas.

 

IX – Compulsion

Mucey, 13h04, après ce moment partagé.

Amour de ma vie…

Bonheur pur ces retrouvailles vitales pour moi.

 

Musine, 13h31

Oui, ça m’a fait du bien mon amour.

Tes messages sont très beaux. Je suis fan de tes écrits. Fan de toi.

 

Mucey

Une fusion psychocorporelle passionnée.

 

Musine

Oui, c’est incroyable.

 

X – Intensification

Mucey

Avec les reflets de lumière au fond de la piscine, j’avais la sensation de nager au cœur de tes connexions neuronales, mais en sortant, retour sur la berge réelle : rien de toi.

 

Musine

Je brûle pour toi.

 

Mucey, 0h56

L’orage se rapproche, des éclairs partout, une touffeur prononcée, mais des images de toi qui apaisent et exaltent.

 

Musine

Là je n’ai plus le choix. Je sors marcher un peu.

Prends soin de toi.

 

Mucey

J’effleure chacune de tes cellules et les ventricules de mon cœur font comme des bras entourant ton âme.

 

XI – Ébullition

Mucey, 1h03

Quatrain mortifère :

Ton retrait laisse un si vague terrain aride

Où rien ne poussera, pas une herbe, aucun brin,

Tous ces sillons creusés par des larmes acides

Avec un goût tombal rongeant les lendemains.

 

Musine

Ce matin, si je pouvais, comme Rodin, t’avoir en trois exemplaires, tu sais comme dans sa sculpture : les trois ombres, pour voir toutes les facettes de toi.

 

Mucey

Comme c’est adorable ça…

Oh oui ! Toi tu es mon triptyque paradisiaque…

 

XII – Privation

Mucey

Dans la pénombre, chez moi, en attendant que le temps passe.

Je m’imperméabilise au monde.

 

Musine

Ça va passer Mucey.

 

Mucey

Bien sûr que non.

Pour toi c’est sans doute passé, moi ça ne passera jamais.

Ça restera une plaie ouverte et atroce à ressentir.

 

Musine

Passé pour moi !!! Explique-moi comment on peut s’éloigner de soi.

 

Mucey

Je croyais, Musine…

Je n’ai plus aucun repère pour te ressentir. Tu sembles si sereine.

Je suis comme suspendu dans le vide et tu incarnes les éléments précieux auxquels je peux m’accrocher…

 

XIII – Convulsions

Mucey, 9h39

Mes sueurs froides reviennent. Tout s’effondre à nouveau.

9h43

En un instant tu me fais passer de tes bras au néant !!!

Atroce.

 

Musine, 9h44

Pour moi aussi.

On n’a pas le choix, notre amour est une chimère !!!

 

Mucey

Tout ça balayé !!!

Une chimère, carrément !!!

Atroce.

Là tu m’achèves donc.

 

Musine

Oui, il est impossible.

 

Mucey

La tête de lion pour caresser ton visage de sa crinière,

Le corps de chèvre pour me coller à toi,

La queue de dragon…

Je veux être ta chimère réelle…

 

XIV – Permission

Mucey, 4h26

Lorsque l’enracinement se fait aérien,

Que la ramure feuillue favorise l’ombre lumineuse,

Que la rugosité du tronc se mue velours ancien,

Et que la pousse centenaire s’anime d’une sève en flammes aqueuses,

C’est que notre Amour siège en son sein.

 

Je voudrais te voir, entendre ton souffle, m’occuper de chaque parcelle de toi…

Tu es mon Amour, Musine, tu me comprends ?

Encore… prononce mon prénom à mon oreille…

 

Musine

Et toi le mien.

Mucey

 

XV – Raréfaction

Mucey, extrait de son Carnet de mort :

Amputation à vif, pour moi, alors que l’esprit ne peut se détacher. Du tourment en boucle délétère…

Plus aucune actualité, nulle accroche littéraire ne peut retenir mon attention. Je passe mon temps à rafraichir la page de réception des mails, et c’est toujours ce déprimant “Aucun résultat n’a été trouvé”…

(…)

Ce vide qui infecte tout mon être deviendra bientôt maladif, incurable, dévastateur.

 

XVI – Diffamation

Musine, 19h11

Je viens de finir.

19h25, capture d’écran jointe.

Tu t’es trompé de destinataire.

 

Mucey, 20h08

Heu, c’est quoi ce dialogue, Musine ? ça ne vient pas de moi…

Tu es rentrée ?

20h12

Tu m’as envoyé un extrait de dialogue de jeunes qui doit provenir de quelqu’un d’autre, Musine…

 

Musine, 21h09

Ça n’a pas d’importance. C’est ta vie privée. Je n’ai pas à réagir.

 

Mucey

Musine, tu te rends compte ? Imaginer que je puisse être à l’origine de ce torchon textuel ??? Ou que je me fasse le réceptacle de ça ?

 

XVII – Désolation

Mucey, 13h28

Sans doute que je ne te mérite pas, Musine… ta perception de moi m’édifie, même si elle ne correspond pas à ce que je vis depuis que tu es entrée miraculeusement dans mon existence.

Et moi je t’aimerai comme un fou jusqu’à mon dernier souffle, même unilatéralement.

 

Musine, 14h39

Te voir pleurer m’a bouleversée.

 

Mucey, extrait de son Carnet de mort, 21h45 :

Je n'aurai, désormais, plus rien à attendre de la vie. Juste laisser filer le temps en attendant la fin ; le néant, lui, est déjà là, en moi. Je me sens déjà mort.

 

XVIII – Résurrection

Mucey, 19h20

Quelle idyllique journée.

 

Musine, 19h27

Mucey, c’est fou.

 

Mucey

Oui… mais vital pour moi ma Musine.

 

Musine, 19h31

Comment je vais faire ?

 

Mucey

Musine…

Ne m’inflige pas du radical, c’est tout ce que je demande.

 

XIX – Émotion

Mucey

Je vais laisser le chagrin me submerger.

Le sursis aura été de courte durée.

À moi l’enfer, la souffrance et le plein calvaire.

 

Musine, 21h52

Mucey

 

Mucey

Et une nuit blanche cadavérique pour moi.

Je n’ai plus qu’à hurler intérieurement mon désespoir.

 

Musine

On est dans l’impasse.

 

Mucey

Je ne peux revenir en arrière, donc je me cognerai au fond de l’impasse jusqu’à la fin.

11h24

Comme un reclus, je suis, sans toi.

11h30

Je regarde un documentaire sur Jupiter… pour tenter de calmer ma peine.

Je t’aime.

11h35

Tu savais qu’un gaz ordinaire soumis à des pressions extraordinaires devenait noir ?

11h36

Jupiter serait notamment constitué d’hydrogène métallique… d’où l’énorme champ magnétique qui l’entoure, mon cœur… et qui lui permet d’avoir des aurores sans l’intervention du soleil, ma Musine…

11h41

Mon aube a besoin de toi pour devenir clarté lumineuse…

11h43

Pour ces aurores : seraient dues à l’interaction entre Jupiter et ses lunes, notamment Yio…

11h46

L’attraction de cette lune par Jupiter crée des éruptions qui retombent sur sa glace…

11h47

Tu me mets en état d’éruption existentielle, ma Musine…

11h48

La rencontre lave-glace provoque des radiations par le souffre vaporisé.

11h50

Les particules atteignent le pôle de Jupiter quasiment à la vitesse de la lumière… d’où les aurores cent fois plus lumineuses que sur Terre.

11h51

Mes cellules fusionnent aux tiennes avec l’intensité d’une vie nécessaire.

 

XX – Machination

Mucey, 10h36

Que tu ne veuilles même pas que je sois avec toi pour cette épreuve me blesse infiniment, après tout ce qu’on s’est dit : tout ça parce qu’un vil anonyme t’a envoyé quelque chose en prétendant que cela vient de moi. L’immonde manipulation triompherait ? Je n’ose y croire, ce serait tellement injuste, absurde et effroyable.

 

Musine, 18h57

Moi aussi je ne vais pas bien Mucey.

 

Mucey, 0h14

C’est comme si un malfaisant m’avait abattu en plein vol paradisiaque avec toi et que je gisais agonisant dans un cloaque.

6h54

Sans toi mes sens s’égarent, se perdent :

La vue, pour un regard vers le néant vague,

Le toucher qui ne sent plus le bout de tes doigts, le creux de tes paumes,

L’odorat qui a perdu tes senteurs,

L’ouïe au rythme de mes affres,

Le goût… de plus rien.

18 octobre 2020

Aphorismes non pansés


L'écrit insigne délivre ses cris en déliés sur papier brisé.

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L'ordre empoisonné s'ébroue tordant ainsi ses règles dégraduées.

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Je m'étends dans cette vase où surnage un bouquet terminal en feu.

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Là grillent des espoirs : s'y accrocher pour scruter la silhouette mouvante puis se balancer.

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Haranguer la houle, l'âme tourneboulée jusqu'à la submersion par une larme de fond...

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Sans goût, prêt à écouvillonner toute trace de mon passage non durable, d'un goulot suffocant l'autre...

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Mes gestes Maginot révèlent un cortex Vinatier pour un horizon Père Lachaise.

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L'âme en plaie fait résonner d'affres le corps en peine.

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Les ombres difformes aspirent tout souffle de vie jusqu'à l'obscur oubli.

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Naître comme incertaine variable, vivre son équation inconnue, mourir de ses fragiles constantes.

06 mai 2020

"Vierus" à étouffer

Rage de vivre sans vaccin révulse l'instinct de précaution.
Se cloîtrer jusqu'aux intouchables silences murailles.
Grimage d'un semblant de sourire sur masque à dix-neuf pieds de distance.
A la régalade hydro-alcoolique après un siècle frénétique.
Élastiques surtendus par nos déplacements inutiles.
Postillons panurgiens en gerbes infectes.
Crachats bruyants des deux-roues motorisées à rouer jusqu'à leur reposante immobilité.
Berceuse monomaniaque avec ses empilements quotidiens : malades au souffle perdu, cadavres enterrés sans proches, comme pour éviter l'ultime contamination avant la terne éternité.
Ankylosé par tant d'inertielles contradictions.
Asphyxié dans ce corsetage inesthétique.
Nettoyé de tout risque, je peux expirer sans crainte.
Ainsi soigné de cette "vierus" agonique...


22 mars 2020

Confinement ou cons vilement ?


Chaque période critique est le révélateur de ce que vaut l'individu, de la part réelle de son humanité.

Le vingtième siècle infligea à la France quatre années d'occupation via un fléau idéologique : la majorité vivait passivement cette période, préoccupée par les impératifs du quotidien ; une minorité agissante choisissait de se transcender par l'engagement résistant, une autre s'avilissait en collaboration avec l'ennemi, d'autant plus aisément qu'elle avait la force publique nationale de son côté.

Ce vingt-et-unième, comme un coup de semonce contre ce qui nous semblait acquis voire dû, dégorge le Covid-19 et les sociétés doivent modifier radicalement leur manière de fonctionner. Vigie combattante, les soignants méritent notre gratitude : nous devons leur éviter l'engorgement des services de soins et l'effroyable désignation de ceux que l'on va laisser mourir. Nous avons, collectivement, la capacité d'aider cette ligne de front par notre confinement.


Invisiblement, le virus se répand et une part minable des habitants collabore à sa propagation : inconscients ou malfaisants, peu importe, ces cons aux comportements inconséquents s'estiment dispensés de suivre les règles rabâchées. Ils ont la chance de le faire dans un pays où les libertés publiques comptent encore et où la répression se plie à la proportionnalité. Un système vraiment coercitif, pouvant repérer et identifier ces petites ordures à l'air libre, les priverait de tout soin en plus de lourdes sanctions pénales...


Par grappes infectes, ils s'affranchissent de ce devoir vital, seul moyen pour que ne disjoncte pas le service de santé : saleté de barbecue entre voisins, déplorable promenade entre gigotants, exécrable promiscuité dans les rues...


Cibler et stigmatiser les aberrations comportementales : se jeter sur certaines denrées dans les commerces, voler de la solution hydro-alcoolique dans les hôpitaux, croire qu'en rejoignant sa maison de campagne s'ouvrent de conviviales grandes vacances... Liste béante à combattre.

Le médecin urgentiste Jean-Jacques Razafindranazy est décédé du coronavirus : premier soignant français victime de ce fléau attrapé dans l'exercice de ses fonctions. Que cela fasse réfléchir les réfractaires au confinement !